Avis d'expert
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Hervé Schauer, entre dans le détail des sujets abordés dans les formations HS2, aborde le sujet de la reconversion de collaborateurs vers la cybersécurité.
Hervé, quels sont les domaines de formations couverts par HS2 ?
Notre catalogue d’une cinquantaine de formation s’articule autour de 4 grandes catégories :
Quelles sont les formations les plus demandées ?
Actuellement les formations les plus demandées demeurent les formations de
la série des normes ISO27001, la formation RSSI, mais aussi SECUCYBER qui donne les bases de la cybersécurité, SECUINDUS pour la cybersécurité industrielle, et DPO, malgré une forte concurrence sur le marché de la formation sur la protection des données.
Ces formations sont-elles adaptées pour des personnes en reconversion professionnelle ?
Oui, bien sur ! Les compétences IT des équipes sont en perpétuelle évolution. Aujourd’hui il faut être un minimum compétent sur des notions récentes comme le DevSecOps, l’intégration d’API d’Intelligence Artificielle, les derniers modèles de développement. Et avec la croissance des cyberattaques, les entreprises, comme les organisations publiques, ne peuvent faire l’économie de disposer en interne d’au moins quelques personnes compétentes en matière de sécurité. Donc ces formations peuvent être un bon tremplin pour amener des collaborateurs vers ces métiers d’avenir. Nous avons même fabriqué des passionnés de la cybersécurité qui s’ignoraient ! Une chose cependant, c’est la nécessité d’y aller progressivement, car la cybersécurité c’est un champ complexe, qui explore plusieurs domaines opérationnels.
Le public qui assiste à ces formations est motivé par le sujet, il vient pour comprendre, pour apprendre et gagner en compétence.
On imagine les formations cybersécurité comme extrêmement techniques, est-ce vrai ?
Oui, il y a des formations très techniques, très pointues, destinées à des personnes opérationnelles sur la cybersécurité. Mais il faut bien comprendre que la cybersécurité c’est l’affaire de tous, et pas seulement des informaticiens. Pour moi, les métiers doivent impérativement être a minima sensibilisés sur le sujet. Et il y a beaucoup d’autres angles sous lesquels parler de cybersécurité ; comme l’éthique, les accidents du travail, la lutte contre la fraude et le blanchiment, les conflits d’intérêt, et d’autres encore. Donc chacun pourra apporter sa brique à l’édifice de la cybersécurité dans son entreprise, ou son organisation !
👉 POUR EN SAVOIR PLUS SUR LES FORMATIONS H2S : cliquez-ici
Hervé, quels sont les domaines de formations couverts par HS2 ?
Notre catalogue d’une cinquantaine de formation s’articule autour de 4 grandes catégories :
- La vie privée et droit de la cybersécurité. On y parle de données personnelles, de la législation, des responsabilités du DPO. Cette catégorie rassemble 9 formations parmi lesquelles : Droit de la Cybersécurité, formation hébergement des données de santé et vie privée, Préparation à la certification DPO agréée CNIL.
- La Continuité d’activité, qui couvre des sujets comme la résilience, la gestion de crise, les métiers du RPCA, et la norme ISO22301. Cette catégorie se compose de 4 formations : RPCA pour les Responsables du Plan de Continuité d’Activité, et puis ISO22301 Lead Auditor, et ISO22301 Lead Implementer et Gestion de crise cyber.
- La Cybersécurité Organisationnelle, qui traite de gestion des risques, d’ISO 27001, du métier de RSSI. Cette catégorie rassemble 15 formations parmi lesquelles ISO27001 Lead Implementer, la préparation au CISSP (Certified Information Systems Security Professional) et au CCSP (Certified Cloud Security Professional, la formation à la gestion de crise cyber.
- La Cybersécurité Technique, centrée sur la sécurité offensive et défensive, l’investigation numérique, avec 25 formations parmi lesquelles la rétroingénierie de logiciels malfaisants, la formation aux tests d’intrusion, l’audit sécurité des applications mobiles Android et iOS.
Quelles sont les formations les plus demandées ?
Actuellement les formations les plus demandées demeurent les formations de
la série des normes ISO27001, la formation RSSI, mais aussi SECUCYBER qui donne les bases de la cybersécurité, SECUINDUS pour la cybersécurité industrielle, et DPO, malgré une forte concurrence sur le marché de la formation sur la protection des données.
Ces formations sont-elles adaptées pour des personnes en reconversion professionnelle ?
Oui, bien sur ! Les compétences IT des équipes sont en perpétuelle évolution. Aujourd’hui il faut être un minimum compétent sur des notions récentes comme le DevSecOps, l’intégration d’API d’Intelligence Artificielle, les derniers modèles de développement. Et avec la croissance des cyberattaques, les entreprises, comme les organisations publiques, ne peuvent faire l’économie de disposer en interne d’au moins quelques personnes compétentes en matière de sécurité. Donc ces formations peuvent être un bon tremplin pour amener des collaborateurs vers ces métiers d’avenir. Nous avons même fabriqué des passionnés de la cybersécurité qui s’ignoraient ! Une chose cependant, c’est la nécessité d’y aller progressivement, car la cybersécurité c’est un champ complexe, qui explore plusieurs domaines opérationnels.
Le public qui assiste à ces formations est motivé par le sujet, il vient pour comprendre, pour apprendre et gagner en compétence.
On imagine les formations cybersécurité comme extrêmement techniques, est-ce vrai ?
Oui, il y a des formations très techniques, très pointues, destinées à des personnes opérationnelles sur la cybersécurité. Mais il faut bien comprendre que la cybersécurité c’est l’affaire de tous, et pas seulement des informaticiens. Pour moi, les métiers doivent impérativement être a minima sensibilisés sur le sujet. Et il y a beaucoup d’autres angles sous lesquels parler de cybersécurité ; comme l’éthique, les accidents du travail, la lutte contre la fraude et le blanchiment, les conflits d’intérêt, et d’autres encore. Donc chacun pourra apporter sa brique à l’édifice de la cybersécurité dans son entreprise, ou son organisation !
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